Assassination of Mario Bachand and the Seven Veils

Il y a beaucoup de mystères sur le FLQ, le plus important étant peut-être le meurtre de Mario Bachand à Paris. Mais il y en a d’autres.  Au total, il y en a sept qui sont d’une importance majeure :

  1. L’assassinat de Mario
  2. BachandL’assassinat de Richard Bros
  3. Les attentats de Montréal de 1968-1969
  4. Le bombardement du quartier général de la Défense nationale (QGDN) à Ottawa, le 24 juin 1968
  5. Le rôle de Nigel Hamer dans l’enlèvement de James Cross, 5 octobre 1970.
  6. Le rôle des services de renseignement suisses et britanniques concernant Richard Bros, dans les mois qui ont précédé l’enlèvement de James Cross
  7. La visite à Sommières, en France, au printemps 1970, de René Lévesque et Richard Bros

Ceux-ci sont largement inconnus des spécialistes universitaires qui prétendent être des experts en matière de terrorisme et de lutte contre le terrorisme, et certainement du public canadien.

Le huitième mystère

Nous pourrions bien sûr ajouter d’autres mystères qui, comme ces sept-là, sont totalement inconnus du public canadien. Le plus grand étant, un huitième, Comment s’en sont-ils tirés ? un mystère complet.

Peut-être pas si mystérieux. Les preuves étaient toujours là, sous la surface du mensonge, obscurcies et cachées derrière un mur d’ivresse qui, s’il est examiné de manière critique, forme en soi un chemin vers la vérité. La négation de la vérité exigeait simplement que personne ne pose une question pénétrante. Aucun journaliste, aucun universitaire, aucun soi-disant expert en sécurité et en renseignement, aucun historien. Aujourd’hui encore, à l’heure où nous parlons, les soi-disant journalistes régurgitent les histoires qui ont été construites il y a des décennies pour obscurcir la vérité. C’est là une réalité des plus troublantes : les murs ne sont pas seulement le fait que les journalistes, les médias en général, les historiens universitaires, détournent les yeux par intérêt ou par peur. Les murs sont structurels. La vérité est que le Canada est incapable de “mordre la balle” dans une réalité des plus troublantes.